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2 septembre 2006 6 02 /09 /septembre /2006 18:50

Nous développons un sens de l'importance de l'apparence alors que nous observons notre mère et que nous l'entendons soupirer, ou moins fréquemment, sourire de plaisir en se regardant dans le miroir. Cela ne veut pas dire que la faute revient à notre mère. C'est seulement que, dès un bas âge, nous absorbons d'elle l'idée qu'il est crucial de se concentrer sur son corps.

Bien entendu, l'idée que la beauté est importante nous vient d'autres filles, des papas, de la télévision, des vidéos de musique et de la publicité, mais trop souvent, il est difficile d'atteindre nos propres attentes de la beauté parce que nous ne ressemblons tout simplement pas aux modèles que nous voyons autour de nous.

Les filles peuvent grandir en souffrant d'un complexe d'infériorité, en se préoccupant de leur corps et de leur apparence; elles peuvent être malheureuses si elles ne réussissent pas à se conformer à l'image de la beauté qu'on projette sur l'écran de télévision, sur les affiches et dans les messages publicitaires. Elles peuvent sentir qu'elles doivent changer, suivre un régime pour éliminer leur forme naturelle, s'entraîner excessivement et recourir à la chirurgie plastique pour être acceptées. Les filles et les femmes reconnaissent toutes que la beauté est importante. Mais souvent, elles ne se considèrent pas belles parce qu'elles ne voient pas se refléter leurs traits uniques. Ce qu'elles voient dans le miroir est une personne qui ne ressemble pas aux modèles.

De nos jours, des filles d'à peine six ans et des femmes de soixante-dix et de quatre-vingt ans se préoccupent d'être belles, et la beauté aujourd'hui signifie être mince, avoir un large buste, de longues jambes et ainsi de suite. Certaines fillettes de six ans à peine refusent d'aller à la plage parce qu'elles se sentent trop grosses. 70 pour cent des fillettes de 9 ans suivent un régime, même si bon nombre d'entre elles sont toutes minces et ne sont dans l'ensemble pas du tout grosses. On trouve même des cas d'anorexie dans certaines maisons de retraite parce que les femmes plus âgées se trouvent trop grosses.

 

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2 septembre 2006 6 02 /09 /septembre /2006 18:12

Appel à la révolution contre la discrimination fondée sur la taille dans l'industrie de la mode

Pauvres petits yeux, constamment bombardés par des images sans fin de magnifiques super modèles, extra minces, éblouissantes sous un maquillage au pistolet; pauvres petits yeux constamment nourris de la même image générique de la beauté et du charme encore et encore. Comme l'industrie de la mode et les médias qui l'entourent poussent continuellement une image très précise de la beauté, ils ont créé par inadvertance une nouvelle forme de discrimination : le TAILLISME. Et la plupart d'entre nous en sont victimes... corps et âmes.

 

La discrimination par la taille fonctionne sur plusieurs niveaux

Elle définit certaines caractéristiques de la beauté et du charme. Elle établit la distribution des tailles dans les magasins. Elle établit les normes de la beauté. Malheureusement, elle est souvent acceptée sans remise en question. Ce n'est certes pas tous les jours que l'on ose remettre en question la norme! Ne serait-il pas bien plus passionnant si le monde de la mode se mettait au service d'une multitude de différents beaux corps? Rendons-nous à l'évidence; il est temps de tourner la page. Le TAILLISME est tellement « dernière saison ». Il n'y a aucune manière précise de comprendre la source exacte des stéréotypes actuels sur la beauté du corps. Un ensemble de facteurs - le consumérisme, la santé, les secteurs de la mode et des régimes alimentaires, le conditionnement culturel - a contribué à cultiver cette esthétique restrictive et ridicule. Nous avons subi si longtemps ce lavage de cerveau que nous oublions combien cet idéal est irréalisable.

Comme notre lutte pour la minceur devient plus agressive et plus violente, nous nous soumettons au couteau, nous vomissons dans la cuvette, nous souffrons d'anorexie au point d'être hospitalisées, et un plus grand nombre d'entre nous atteindra cette taille 8 - 10 dont nous rêvons toutes. Et l'industrie de la mode devient encore plus restrictive, se nourrissant littéralement de nos insécurités.

 

La mode n'est pas uniquement une question de style

La mode et les habits nous permettent de créer un point de contact entre notre moi intime et le monde extérieur. Lorsqu'une femme ne réussit pas à trouver dans un magasin un habit qui lui va, cela laisse inévitablement une cicatrice plus ou moins profonde dans son âme. Cela peut renforcer les insécurités sur son corps qui existaient déjà en elle. L'industrie de la mode DOIT faire face au taillisme. Les troubles de l'alimentation et les graves insécurités relatives à l'image corporelle sont déjà répandues à travers les groupes culturels et les groupes d'âge. Les designers doivent assumer les responsabilités de leur rôle dans la société. Nous avons besoin de designs dotés de lignes fluides qui plaisent aux silhouettes plus voluptueuses. Nous avons besoin de modèles d'identification pour adolescentes qui se rebellent contre cet esthétique étroit et qui imposent leurs propres sens de beauté sans suivre de formule préconçue. Nous avons besoin de voir un plus grand nombre de campagnes publicitaires où figurent des femmes plus voluptueuses, aux courbes plus accentuées. Nous avons besoin de voir, dès l'entrée dans un magasin, que la mode est au service de nous toutes, et non seulement d'une petite minorité. Bref, nous avons besoin de voir une révolution esthétique qui nous permette d'accepter nos corps physiques, quels que soient notre âge, notre taille ou la couleur de notre peau.

Si l'industrie de la mode et les médias collaborent pour promouvoir une nouvelle esthétique qui englobe la diversité de la beauté, peut-être ne ressentirons nous plus le besoin de changer notre apparence de manière si draconienne et si néfaste.

Il y va de soi qu'il est grand temps d'arrêter le taillisme.

 

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2 septembre 2006 6 02 /09 /septembre /2006 13:38

Beaucoup de jeunes filles et de femmes se sentent exclues du stéréotype de la beauté idéale de la société.La recette actuelle de la beauté comporte les ingrédients suivants : une belle femme doit être très grande et très mince, avec des hanches étroites mais un large buste. Elle a de grands yeux, des lèvres pleines et un petit nez. Nous sommes tellement habituées à voir cette beauté stéréotypée dans les médias que nous croyons que ces caractéristiques constituent l'idéal de tous les temps. Réfléchissez-y à deux fois.

Avoir des courbes n'a pas toujours été synonyme d'être « grosse », et « grosse » n'a pas toujours indiqué toute chose autre que d'avoir un poids inférieur à la normale et d'être mal nourrie.

La conception de la beauté idéale évolue et a toujours été une cible mobile. Des grands nez et des petits nez, une taille mince ou voluptueuse, des bustes développés ou plats, des tailles grandes ou petites, des cheveux droits ou bouclés : une multitude de traits ont défini la beauté idéale à une période ou à une autre de l'histoire. Soyez vous-même et appréciez les traits qui vous sont particuliers et ayez confiance dans votre peau.

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1 septembre 2006 5 01 /09 /septembre /2006 23:37

                    

L'estime de soi influe sur tous les aspects de la vie. Lorsque les jeunes filles et les femmes ont une bonne impression d'elles-mêmes et de leur apparence, elles sont plus susceptibles de vivre à fond, d'avoir une vie sociale active et d'atteindre leur plein potentiel.

La question de l'estime de soi liée à l'image corporelle est-elle réellement importante? De quelle façon les images et les messages véhiculés par notre culture, qui définissent la beauté comme un stéréotype rigide et inatteignable, affectent-ils les vraies femmes et les vraies jeunes filles?

 

--> Si On ChAnGe La FaÇoN dOnT lA bEaUtÉ eSt DéFiNiE, oN pEuT cHaNgEr DeS vIeS! <--

 

Voici quelques statistiques:

à L'insatisfaction relative à l'image corporelle a été observée à maintes reprises chez des jeunes filles qui n'ont que neuf ans.

à Plusieurs études ont démontré que même les petites filles de sept ans souhaitent être plus minces.

à Soixante-trois pour cent des femmes sont d'accord pour dire que l'on attend des femmes d'aujourd'hui qu'elles soient plus belles que celles de la génération de leurs mères.

à À l'échelle planétaire, seulement deux pour cent des femmes se trouvent belles.

source--> Fond d'estime de soi Dove

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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31 août 2006 4 31 /08 /août /2006 08:53

Cette maladie touche principalement les femmes (90 % des cas). La forme la plus courante est celle qui affecte les adolescentes, surtout de 15 à 20 ans, mais les spécialistes se sont récemment aperçus que la maladie apparaissait aussi chez la population plus âgée, rendant la détection plus difficile, surtout en ce qui concerne les cas de boulimie. Elle affecte également les jeunes filles pré-adolescentes, parfois dès l'âge de 11 ans. Ce trouble provient souvent de problèmes relationnels, ou d'une dépression.

Les symptômes caractéristiques sont un amaigrissement important (au moins 15 % en dessous du poids normal) accompagné de fonte musculaire. On voit aussi apparaître un état dépressif.

Les conséquences sont l’aménorrhée (disparition des règles mensuelles), mais aussi l’ostéoporose, le manque de vitamines qui cause la perte de cheveux, le déchaussement des dents, une mauvaise circulation sanguine.

On distingue deux types d'anorexie mentale :

  • l'anorexie restrictive : le sujet mange très, très peu ;
  • l'anorexie-boulimie : le sujet mange très peu et a parfois des crises de boulimie avec vomissements.

Dans plus de la moitié des cas, l’anorexie s’accompagne de phases de boulimie, qui est un comportement compulsif de prise de nourriture. Cela est dû à la privation prolongée de nourriture qui cause des envies compulsives incontrôlables, de quantités trop importantes. Cette boulimie peut être suivie de prises de médicaments, de vomissements, afin d’évacuer la nourriture et ne pas grossir. C’est pour cela que beaucoup de personnes souffrant d’anorexie à comportement boulimique ont un poids tout à fait normal, ou plus bas que la normale. Ici, il est important de souligner que l'anorexique-restrictive autant que la boulimique mettent leur vie en danger, à cause de la chute drastique de potassium pouvant entrainer de sérieux problèmes rénaux de même qu'un arrêt cardiaque.

La guérison nécessite un processus très long qui peut prendre plusieurs années pouvant aller jusqu'à l'hospitalisation. Les cas de rechute sont nombreux, mais une thérapie permet de réapprendre à manger correctement sans souffrir de troubles alimentaires. C’est seulement lorsque le patient a réappris à manger correctement et à ne plus associer alimentation et émotions, que la guérison est définitive. En ce sens, la thérapie cognitive semble apparaître la plus adéquate dans le traitement de ce désordre. Mais il demeure essentiel de se rappeller qu'il n'existe aucune « méthode », aucune thérapie qui ne sauront agir tant que le ou la patient(e) s'obstinera à maintenir un indice de masse corporelle (IMC) de moins de 14 (l'IMC se calcule en divisant le poids en kg par le carré de la taille en mètres, il doit normalement être compris entre 19 et 25).

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30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 17:33
Bienvenue à toutes et à tous sur ce blog des forumeuses de docti alors lachez vos coms et bonne visite à tout le monde
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